Communiqués de presse

La mondialisation a progressé de manière modérée en 2021. Elle ne s'est néanmoins pas complètement remise des effets de la pandémie de COVID-19 et reste inférieure à son niveau de 2019. La Suisse est le pays le plus mondialisé, suivie de la Belgique et des Pays-Bas. Alors que la mondialisation économique montre des signes de reprise, la mondialisation sociale présente une image marquée par des restrictions persistantes dues à la pandémie.

En novembre, le baromètre conjoncturel du KOF augmente de façon modérée et se situe désormais à 96,7 points. Il continue ainsi à se rapprocher de sa moyenne à long terme. Il évolue ainsi depuis le milieu de l'année 2023 à un niveau stable, bien qu'inférieur à la moyenne. Les perspectives pour l'économie suisse restent donc modérées.

L'indicateur de la situation des affaires du KOF pour l'économie privée suisse, calculé à partir des enquêtes conjoncturelles du KOF, recule en octobre pour le deuxième mois consécutif. Après un faible recul le mois précédent, la situation des affaires se refroidit nettement en octobre. L’inflation diminue et les attentes salariales des entreprises sont plus faibles qu'en automne de l'année dernière.

Les dépenses de santé en Suisse continuent de croître au cours de la période de prévision (2022-2025). Leur part dans le produit intérieur brut se stabilise toutefois autour de 11,5%. Tels sont les principaux résultats des prévisions du KOF en matière de dépenses de santé, établies grâce à une contribution à la recherche de comparis.ch.

L'indicateur de l'emploi du KOF baisse au troisième trimestre 2023, mais reste dans une zone clairement positive. L'assombrissement des perspectives d'emploi se limite à certaines branches, celles étant le plus fortement impactées par l'évolution de l'économie mondiale. Dans l'ensemble, l'évolution de l'emploi sur le marché suisse du travail devrait continuer à être positive.

Le baromètre conjoncturel du KOF se situe en ce mois de juin à 90,8 points. Les perspectives de la conjoncture suisse pour le prochain semestre restent donc à un niveau inférieur à la moyenne.

Selon les prévisions conjoncturelles du KOF, le produit intérieur brut (PIB) suisse, corrigé des événements sportifs, devrait augmenter de 1,1% en termes réels cette année et de 1,7% en 2024. Grâce à un hiver doux, la crise énergétique a moins pesé sur la conjoncture qu'on ne le craignait. L'inflation néanmoins toujours élevée et la hausse des taux d'intérêt freinent la dynamique conjoncturelle. De plus, les turbulences sur le marché bancaire créent des incertitudes dans le monde entier.

Au cours du mois d’août, le KOF, en collaboration avec la Neue Zürcher Zeitung (NZZ), a interrogé des économistes des hautes écoles suisses sur le système de prévoyance vieillesse suisse et la prochaine votation sur la réforme « AVS 21 » et a récolté 133 réponses. D'un point de vue économique, une nette majorité des chercheurs en économie est (plutôt) favorable à la réforme.

La situation des affaires du KOF pour les entreprises suisses subit un petit coup de frein en juillet mais reste toutefois meilleure qu'en début d’année et il faut remonter à juillet 2011 pour constater une situation des affaires plus favorable qu'actuellement. Concernant l'évolution des affaires au cours des six prochains mois, les entreprises sont toutefois nettement moins optimistes qu'auparavant.  

L'indicateur de l'emploi du KOF est à nouveau en hausse ce trimestre. Cette nouvelle hausse est due à de petites améliorations dans presque tous les secteurs. En revanche, les prévisions d'emploi pour les trois prochains mois subissent un léger coup de frein.

Le baromètre conjoncturel du KOF est à la baisse en juillet pour le troisième mois consécutif. Après un recul modéré le mois précédent, la chute s'accélère à nouveau. La conjoncture suisse devrait évoluer péniblement à l'automne.

Le baromètre conjoncturel du KOF est à la baisse en mai. Il s'établit désormais à 96,8 points. Le baromètre se situe maintenant en dessous de sa moyenne à long terme. La conjoncture suisse devrait ainsi évoluer de manière modérée au cours des prochains mois.

L'indicateur de la situation des affaires du KOF pour les entreprises en Suisse augmente en avril et atteint sa valeur la plus élevée depuis la reprise suite à la crise financière en 2010/2011. En ce qui concerne l'évolution à court terme, les entreprises sont toutefois plus réservées que les mois précédents. Pour l'économie suisse, les effets positifs de la reprise suite à la pandémie de COVID-19 l'emportent pour l'instant sur les contraintes liées à la guerre en Ukraine.

Après avoir plongé en dessous de sa moyenne à long terme, le baromètre conjoncturel du KOF remonte au-dessus de celle-ci en avril. Les opportunités offertes à certains pans de l'économie par la reprise de la pandémie l'emportent actuellement sur les pressions exercées par le contexte international.

Le baromètre conjoncturel du KOF a baissé de 5,6 points en mars et se situe désormais à 99,7 points. Ce chiffre est tout juste inférieur à sa moyenne à long terme. La reprise économique post-pandémie est désormais éclipsée par la guerre en Ukraine. Il faut s'attendre dans l'ensemble a une évolution modérée de l'économie suisse dans un proche avenir.

Le baromètre conjoncturel du KOF reste pratiquement inchangé en octobre. Après des affaiblissements répétés et l’atteinte d’un niveau historiquement élevé cet été, le baromètre se stabilise pour le moment à 110,7 points. Il se situe donc à nouveau nettement au-dessus de sa moyenne à long terme. Les perspectives pour l'économie suisse jusqu'à la fin de l'année restent positives si l'endiguement du virus continue de progresser.

L'indicateur de la situation des affaires du KOF a fait un grand pas en avant en juillet. Pour la première fois, la situation des affaires des entreprises suisses est meilleure qu'au tournant de l'année 2019/20. Les participants au sondage sont confiants dans l'évolution future et voient moins d'impondérables qu'au début de l'année. Cette évaluation optimiste des entreprises correspond aux calculs actuels du KOF.

En juillet, le baromètre conjoncturel du KOF se situe à nouveau en dessous du pic atteint au mois de mai. Malgré cette deuxième baisse consécutive, son niveau est nettement supérieur à la moyenne en comparaison à long terme. L'économie reste sur la voie d'une forte reprise, même si le rythme élevé des derniers mois ne peut être maintenu.

Le baromètre conjoncturel du KOF se dirige vers sa moyenne à long terme à la mi-année. La forte hausse du baromètre au cours des derniers mois est désormais remplacée par un mouvement correctif. Le baromètre reste néanmoins bien au-dessus de sa moyenne à long terme. Les perspectives pour l'économie suisse restent très positives, à condition que l'économie ne soit pas gravement affectée par une nouvelle propagation du virus.

Le baromètre conjoncturel du KOF a de nouveau atteint un niveau record. Le léger recul que le baromètre a connu au second semestre 2020 a laissé place à une hausse soutenue au printemps de cette année. Une fois encore, le baromètre se situe bien au-dessus de sa moyenne à long terme. Les perspectives pour l'économie suisse au milieu de l'année 2021 sont très positives, à condition que l'endiguement du virus continue de progresser.

Des instituts renommés viennent de baisser leurs prévisions conjoncturelles pour la zone euro de manière drastique, annonçant désormais une contraction de la performance économique de 2,7 % pendant le dernier trimestre de l'année 2020. À la fin du mois de septembre, ces instituts avaient encore tablé sur une progression de + 2,2 %. Leur pronostic a été revu en raison du grand nombre d'infections au coronavirus et de l'arrêt partiel des activités économiques, expliquent l'Institut ifo, le KOF et l'Istat.

Le KOF s'attend à une baisse du PIB de 3,5% cette année (scénario de base). En 2021 et 2022, il prévoit une croissance de respectivement 3,2% et 2,6%. La deuxième vague de la pandémie pèse sur le marché du travail. L'emploi devrait stagner au cours du semestre d'hiver et des hausses de salaire historiquement faibles sont attendues pour les deux prochaines années. Le nombre des entreprises qui considèrent leur existence comme menacée a de nouveau augmenté.

En 2020, les dépenses de santé augmenteront de 3,1%, ce qui est légèrement inférieur aux 3,4% de l'année dernière. Au cours des deux prochaines années, les dépenses devraient à nouveau croître plus fortement. En raison de la pandémie COVID 19, moins de services ont été fournis dans certains domaines du système de santé. Ce sont les résultats des prévisions des dépenses de santé du KOF, réalisées grâce à une contribution de comparis.ch.

Tant dans le canton de Zurich que dans le nord-ouest de la Suisse, le nombre de faillites a dépassé la fourchette normale en octobre. Le nombre de faillites a également fortement augmenté dans le secteur des transports et des communications ainsi que dans d'autres services. Les conséquences négatives de la première vague de coronavirus ne semblent pas encore avoir été digérées.

Le baromètre conjoncturel du KOF a augmenté en septembre pour la quatrième fois consécutive, après un effondrement historique au printemps de cette année. Le baromètre a atteint une valeur comparable pour la dernière fois à la fin de la crise financière de 2009/2010. Actuellement, la tendance économique est en forme de V, de sorte que pour le moment, une reprise de l'économie suisse est à prévoir. Toutefois, une deuxième vague COVID-19 pourrait entraîner une révision brutale de cette évaluation.

Après une reprise massive au cours du 3e trimestre, la courbe de croissance en zone euro s'aplatira au cours des trois derniers mois de l'année. C'est ce qu'annoncent les instituts de recherche économique ifo (Munich), Istat (Rome) et KOF dans la toute dernière édition de l'Eurozone Economic Outlook.

Les entreprises veulent augmenter leur productivité en investissant dans les technologies numériques. Toutefois, cela ne peut être réalisé que si les entreprises sont innovantes, adaptent leurs processus organisationnels et investissent dans la sécurité informatique. En général, les entreprises suisses semblent sous-estimer le potentiel de la numérisation, comme le montre une nouvelle étude.

Entre mars et juillet, les faillites d'entreprise ont diminué de 21% en Suisse par rapport à la même période de l'année dernière. Les mesures de soutien prises pendant la crise liée à la pandémie de coronavirus ont sans doute joué un rôle important à cet égard. Cependant, il n’est pas question de lever l’alerte, car certaines faillites n'ont probablement été que reportées. Les faillites ont également augmenté progressivement après les crises économiques précédentes.

Le baromètre conjoncturel du KOF était en forte hausse en juillet pour le deuxième mois consécutif. C'est le plus fort mouvement mensuel à la hausse que le baromètre ait jamais connu. Cependant, la chute d’avril avait été encore plus sensible. Les perspectives économiques de l'économie suisse restent donc modérées.

Les touristes résidents ne pourront compenser l’absence des touristes étrangers durant l’été. Les villes devront accuser une baisse de 50% du nombre des nuitées pendant les mois d’été et les régions alpines, de 20 à 30%. Sur l’ensemble de l’année touristique 2020, le nombre des nuitées devrait chuter de plus de 30% par rapport à l’année précédente. Concernant l’hôtellerie, il en résulte une perte de valeur ajoutée de plus de 900 millions de francs. 

Le KOF s'attend à une baisse significative de la valeur ajoutée de 5,5 % pour l'ensemble de l'année 2020. En 2021, la croissance du PIB devrait alors revenir à 5,4 %. Les dépenses de sécurité sociale augmenteront fortement cette année. En même temps, la Confédération, les communes et les cantons doivent s'attendre à une baisse des recettes fiscales de plus de 25 milliards de francs cette année et dans les années à venir.

L'indicateur de la situation des affaires du KOF a chuté de manière exceptionnellement forte en avril. Face à la pandémie du COVID-19, les entreprises évaluent leur situation des affaires de manière encore plus négative que lors de la crise financière de 2009. Elles s'attendent également à ce que leur situation continue à se détériorer dans les mois à venir. Le coronavirus contrôle encore fortement l'économie.

En raison de la pandémie COVID 19, les perspectives à court terme sur le marché suisse du travail se sont fortement détériorées : l'indicateur de l'emploi du KOF tombe à -19,9 points. L'indicateur est actuellement inférieur à ce qu'il avait été au plus fort de la crise financière et économique en 2008/2009. À l'exception du secteur des assurances, tous les secteurs sont touchés par cette baisse.

On sait encore peu de choses sur les effets de la crise du coronavirus sur les travailleurs indépendants. Une enquête conduite par la Faculté des HEC (UNIL), avec les professeurs Rafael Lalive et Marius Brülhart, dans le cadre d’Enterprise for Society, et l’institut KOF de l’ETHZ auprès de 1000 indépendant·e·s et chef·fe·s d'entreprise montre que le confinement a entraîné, dans certains cas, des pertes de ventes massives et des problèmes psychologiques. 

La zone euro connaîtra une récession dans les mois à venir. C'est ce que prévoient l'Institut ifo de Munich et le Centre de recherches conjoncturelles (KOF) de Zurich dans leur rapport conjoint « Perspectives économiques de la zone euro » (EZEO). La performance économique a sans doute connu une baisse de l'ordre de 2,3 % dès le premier trimestre et devrait même se réduire de 10,5 % au cours du deuxième trimestre.

Le baromètre conjoncturel du KOF a chuté de manière brutale en mars et, avec 92,9 points, il se situe désormais bien en dessous de sa moyenne de long terme. En conséquence, l'économie suisse devrait connaître une nette diminution des taux de croissance dans un avenir proche. Cette chute du baromètre reflète les premières conséquences économiques de la propagation accélérée du coronavirus.

La situation commerciale des entreprises suisses s'est légèrement améliorée en janvier. Dans le secteur manufacturier, l'indicateur n'a plus reculé après 13 baisses consécutives. Cependant, cinq ans après la suppression du taux de change plancher du franc suisse, les entreprises de ce secteur se plaignent toujours d'une compétitivité moindre dans la zone euro. C'est le résultat d'une enquête spéciale du KOF sur la politique monétaire suisse.

Les perspectives du marché suisse du travail se sont améliorées : l'indicateur de l'emploi du KOF est passé de 2,1 à 3,9 points. Divers secteurs ont atténué leurs prévisions négatives en matière d'emploi depuis le dernier trimestre de 2019. En outre, une augmentation de la création d'emplois est attendue dans certains secteurs des services.

Le baromètre conjoncturel du KOF grimpe en janvier. Après avoir déjà fait un bond en avant en décembre, il est maintenant revenu à sa valeur moyenne à long terme. Le baromètre n'avait pas atteint ce niveau pour toute la période de l’année 2019. L'économie suisse peut se libérer quelque peu de ses entraves.

Depuis cinq ans, le taux directeur de la Banque nationale suisse est dans le négatif. À cette occasion, le KOF a tenu, en collaboration avec le NZZ, à interroger les économistes suisses concernant leur appréciation sur cette situation des taux. Une majorité d’entre eux estiment que la BNS pourrait encore abaisser le taux directeur sans que cela entraîne de retrait à grande échelle des dépôts bancaires.

L'économie de la zone euro connaîtra une légère reprise, annoncent les trois instituts de recherche économique ifo, KOF et Istat. Après une croissance faible de 0,2 % au cours du troisième trimestre 2019, l'activité économique affichera une progression de 0,3 % au quatrième trimestre. Les instituts de recherche estiment que la croissance trimestrielle de l'économie en zone euro restera à ce même niveau de 0,3 % pendant les deux premiers trimestres de la nouvelle année.

Le baromètre conjoncturel du KOF a atteint en décembre le même niveau qu’à la fin de l’année dernière. Le recul tendanciel observé pendant toute l’année 2019 a pu ainsi être compensé intégralement. Le baromètre demeure toutefois en-deçà de sa moyenne à long terme. Les attentes concernant la conjoncture suisse s’améliorent quelque peu en ce début d’année 2020, tout en restant cependant réservées.

Le ralentissement de la conjoncture mondiale et la faible croissance observée dans la zone euro – en particulier dans l’industrie allemande – affectent l’économie suisse. En même temps, les risques internationaux ont quelque peu diminué. Les élections parlementaires au Royaume-Uni pourraient toutefois générer de nouvelles incertitudes. Le KOF prévoit encore pour 2019 une croissance du PIB de 0,9%. Il abaisse légèrement ses prévisions pour 2020 (1,8%) et pour 2021 (1.4%).

Le baromètre conjoncturel du KOF a atteint en novembre son niveau le plus bas depuis 2015. La tendance à la baisse observée depuis le début de l’année persiste. Le baromètre se maintient à un niveau nettement inférieur à sa moyenne à long terme. Les perspectives demeurent réservées pour la conjoncture suisse.

Les dépenses de santé ont augmenté de 3,6% en 2019, soit un peu plus que les deux années pré-cédentes. Cette évolution est notamment imputable à la légère hausse des salaires et à la part croissante de la population âgée. En 2020 et 2021, les dépenses de santé devraient augmenter respectivement de 3,3% et de 3,6%. Tels sont les résultats des prévisions semestrielles du KOF relatives aux dépenses de santé, établies grâce à une contribution à la recherche de comparis.ch.

Les perspectives à court terme se sont détériorées sur le marché suisse de l’emploi : l’indicateur de l’emploi du KOF a baissé de 4,6 à 2,3 points. Ce recul est dû à l’industrie, où les perspectives d’emploi sont presque aussi sombres qu’après le choc du franc en 2015. En revanche, le bâtiment et les banques envisagent de créer des emplois.

La saison d’été aura été performante pour le tourisme suisse : le nombre des nuitées a progressé de 2,6% par rapport à l’année précédente. En particulier les nuitées des clients résidents ont affiché une forte hausse. En ce qui concerne la prochaine saison hivernale, les perspectives sont quelque peu assombries par l’affaiblissement conjoncturel, mais elles demeurent positives. S’agissant des années touristiques 2019 et 2020, le KOF prévoit un accroissement des nuitées de respectivement 1,8%.

Le degré de mondialisation n'a que légèrement progressé au cours des dernières années à l'échelle planétaire. Les tendances protectionnistes observées dans de nombreuses régions du monde ont sans doute produit un effet modérateur. De même, la mondialisation sociale ne progresse guère. La Suisse, les Pays-Bas et la Belgique sont les pays les plus mondialisés de la planète.

Les signaux émis par l’économie suisse suggèrent un refroidissement. Le contexte international a aussi évolué. Les prévisions relatives à l’économie mondiale sont aujourd’hui moins favorables. Le KOF révise donc à la baisse ses prévisions de croissance économique de cette année et de l’année prochaine.

Une majorité des entreprises opérant dans des secteurs axés sur le marché intérieur envisagent d’accroître leurs effectifs au cours des mois à venir. Dans l’industrie, en revanche, il est davantage question d’une réduction des emplois. Globalement, les perspectives à court terme demeurent toutefois favorables : l’indicateur KOF de l’emploi se maintient aux alentours de 5 points.

Le baromètre conjoncturel du KOF a progressé en juillet. L’indicateur étant déjà demeuré stable le mois précédent, les perspectives conjoncturelles ne sont plus aussi défavorables qu’auparavant. Néanmoins, le baromètre présente encore une dynamique inférieure à la moyenne. La conjoncture suisse reste fragile.

En juin, le baromètre conjoncturel du KOF est resté pratiquement inchangé par rapport au mois précédent. Il s’établit désormais à 93,6 points, soit 0,2 point de moins qu’en mai (révision de 94,4 à 93,8 points). On observe à présent un ralentissement de la tendance à la baisse qui se dessinait depuis le début de l’année. 

La faiblesse inattendue de la conjoncture et la légère hausse du taux de change ont modéré la demande touristique au cours de l’hiver écoulé. Néanmoins, les régions alpines ont tiré bénéfice d’une neige abondante et de bonnes conditions météorologiques, si bien qu’elles ont enregistré une plus forte croissance du nombre des nuitées que les villes.

The KOF MPC figure for 7 September 2017 is 0.39. As communicated by the ECB, underlying inflation has ticked up moderately. However, it has yet to show signs of a sustained upward trend.

The KOF MPC figure for 20 July 2017 is 0.58. As communicated by the ECB, underlying inflation remains subdued and has yet to show convincing signs of a pick-up.

The KOF MPC figure for 8 June 2017 is -0.04. As communicated by the ECB, underlying inflation remains low and has yet to show convincing signs of a pick-up.

Die von der KOF im März befragten Konjunkturexperten revidierten ihre Prognose für die Wirtschaftslage im Jahr 2017 gegenüber der letzten Befragung nicht. Sie rechnen weiterhin mit einem Zuwachs des realen Bruttoinlandprodukts (BIP) von 1.5%. Erstmals gaben die Umfrageteilnehmer eine Prognose für das Jahr 2018 ab. Sie erwarten einen Anstieg von 1.7% des realen BIP im nächsten Jahr. Die langfristige durchschnittliche Prognose des BIP-Wachstums liegt bei 1.5%.

The KOF MPC figure for 9 March 2017 is 0.12. As communicated by the ECB, there are still no signs of a convincing upward trend in underlying inflation.

Die von der KOF im Dezember befragten Konjunkturexperten haben ihre Prognose für die Wirtschaftslage im Jahr 2016 gegenüber der letzten Umfrage nicht revidiert. Sie erwarten weiterhin einen Anstieg des BIP um 1.3%. Für 2017 revidieren die Ökonomen ihre Prognose leicht nach oben, auf aktuell 1.5%. Auch langfristig gehen sie von einem Wirtschaftswachstum von 1.5% aus.

La hausse des dépenses de santé se poursuit. Comme il l’avait été annoncé dans ses prévisions du printemps, le KOF s’attend à une augmentation des dépenses globales de santé de 3,6% en 2016 et même de 3,9% en 2017. En 2018, la hausse se maintiendra au même niveau (3,9%).

The KOF MPC figure for 8 December 2016 is 0.5. As communicated by the ECB, there are no signs yet of a convincing upward trend in underlying inflation.

Die italienische Bevölkerung hat sich deutlich gegen die von der Regierung Renzi initiierte Verfassungsreform ausgesprochen. Die Entscheidung führt zu erneuter politischer Ungewissheit und erhöht die Risiken für die europäische Konjunktur. Der Aufwertungsdruck auf den Schweizer Franken könnte hierdurch wieder zunehmen.

Entgegen den meisten Meinungsumfragen und Markterwartungen ist Donald Trump zum 45. Präsidenten der Vereinigten Staaten gewählt worden. Spürbare konjunkturelle Auswirkungen sind trotz einer fehlenden wirtschaftspolitischen Kontinuität nicht zu erwarten. Auf längere Frist dürften jedoch die vermehrt protektionistischen Tendenzen von Bedeutung sein. Hiervon ist auch die Schweiz betroffen, die als stark exportorientierte Volkswirtschaft auf möglichst ungehinderten Marktzugang angewiesen ist.

The KOF MPC figure for 20 October 2016 is 0.62. As communicated by the ECB, the recent uptick in inflation does not yet show signs of a convincing upward trend in underlying inflation.

The KOF MPC figure for 8 September 2016 is 0.12. At today’s meeting, the ECB decided to keep all key ECB interest rates as well as the size and duration of the asset purchase programs unchanged.

The KOF MPC figure for 2 June 2016 is -0.30. At today’s meeting, the ECB decided to keep all key ECB interest rates unchanged. 

Aufschwung bleibt moderat – Wirtschaftspolitik wenig wachstumsorientiert

Das KOF Konjunkturbarometer verbleibt im März gegenüber dem Februar 2016 praktisch unverändert. Sein März-Wert beträgt 102.5 Zähler gegenüber 102.6 im Februar (revidiert von 102.4). Der neue Stand des Konjunkturbarometers deutet auf eine weiterhin positive Entwicklung der Schweizer Konjunktur in den nächsten Monaten hin.

Nach einem schwierigen 2015 für die Schweizer Wirtschaft hellen sich die Aussichten im laufenden Jahr auf. Das Bruttoinlandprodukt wird allerdings aufgrund der schwachen internationalen Konjunktur und den durch die Frankenaufwertung notwendigen Strukturanpassungen in der Schweiz in diesem Jahr nur um 1% zunehmen. Die Arbeitslosigkeit steigt 2016 leicht auf 3.5%. Die Preise sinken jedoch weiter.

Die von der KOF im März befragten Ökonomen haben ihre Erwartungen für die Wirtschaftslage im Jahr 2016 gegenüber der letzten Umfrage nicht revidiert. Sie erwarten einen Anstieg des Bruttoinlandprodukts um 1.1%. Für das Jahr 2017 prognostizieren die Konjunkturexperten ein Wirtschaftswachstum von 1.5%. Die Prognose der Konsumentenpreise für das aktuelle Jahr fällt mit einem Preisrückgang um -0.6% tiefer aus als noch im Dezember 2015 (-0.2%).

The KOF MPC figure for 10 March 2016 is -0.13. At today’s meeting, the ECB decided on a comprehensive package of monetary stimulus measures to counteract heightened risks to the ECB’s price stability objective. 

Studie im Auftrag des Staatssekretariats für Bildung, Forschung und Innovation SBFI

Der aktuelle KOF Globalisierungsindex widerspiegelt die ökonomische, soziale und politische Globalisierung des Jahres 2013. Gemäss dem KOF Globalisierungsindex ist der Grad der Globalisierung im Jahr 2013 gegenüber dem Vorjahr nur unmerklich angestiegen. So setzte sich die stagnierende Globalisierung in den Industriestaaten fort. Gestiegen ist der Index allerdings in Osteuropa, im asiatischen und pazifischen Raum. Spitzenreiter sind die Niederlande, die Schweiz liegt auf Rang 5.

Das KOF Konjunkturbarometer stieg im Februar erneut. Es klettert um 2.0 Punkte auf einen Wert von 102.4. Nachdem das Barometer im Januar sehr nahe an seinem historischen Mittelwert von 100.0 lag, steht es nun leicht über diesem. Die Schweizer Konjunkturentwicklung könnte demzufolge in den nächsten Monaten an Tempo gewinnen.

Die Resultate der KOF Investitionsumfrage vom Herbst 2015 zeigen, dass die nominellen Bruttoanlageinvestitionen in der Schweiz im Jahr 2016 zulegen dürften. Gemäss den Angaben der Unternehmen nahm die Investitionstätigkeit letztes Jahr nominell um rund 0.8% zu. Für das laufende Jahr rechnen die Unternehmen mit einer Zunahme der Anlageinvestitionen von 3.7%. An der Umfrage haben sich rund 2800 Unternehmen beteiligt.

Die Geschäftslage der Unternehmen in der Schweiz trübte sich zu Jahresbeginn 2016 ein. Der Geschäftslageindikator sank im Januar spürbar, nachdem er seit April 2015 mit leichten Schwankungen seitwärts tendiert hatte. Die Geschäftserwartungen der Unternehmen für die kommenden sechs Monate sind aktuell zurückhaltender als im Dezember. Insgesamt gehen die Unternehmen aber von einem stabilen Geschäftsverlauf aus. Die Schweizer Wirtschaft befindet sich weiterhin in schwierigem Fahrwasser.

Die Abwärtstendenz auf dem Schweizer Arbeitsmarkt scheint sich zu verlangsamen. Der KOF Beschäftigungsindikator tendiert im Januar leicht aufwärts und liegt neu bei –2.9 Punkten. Damit ist die Zahl der Unternehmen, welche einen Stellenabbau ins Auge fassen, immer noch grösser als die Zahl der Unternehmen, die einen Stellenaufbau anpeilen.

Im Januar 2016 stieg das KOF Konjunkturbarometer um 3.5 Zähler auf einen Stand von 100.3 (von revidiert 96.8 im Dezember 2015). Dem Barometer zufolge dürfte die Schweizer Konjunktur in der näheren Zukunft mit einer in der Nähe des langfristigen Mittels liegenden Dynamik verlaufen.

The KOF MPC figure for 21 January 2016 is 0.07. As communicated by the ECB downside risks have increased and the stance of monetary policy will be reviewed at the March meeting.

Immer wieder wird über den Umfang der Staatstätigkeit, insbesondere der Ausgaben, diskutiert. Aber welche Aufgaben sollte ein Staat überhaupt übernehmen? Eine neue Studie der KOF untersucht die volkswirtschaftliche Rolle des «Service public» in der Schweiz.